Telles sont les œuvres de l’homme, les plus solides comme les plus évanescentes : des immobilisations partielles de ce qui fuit, — le reste, tout le reste, la création entière, l’insaisissable totalité étant retenu au passage, invisible et pourtant sensible, mystérieusement présent dans son absence même, alors que le peu dont nous avons cru nous rendre maître se consume et disparaît.
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