Le poète n’est pas conscient des vérités qu’il découvre : elles sont, par définition, contradictoires. Il sen étonne le premier, ne sachant s’il est responsable de son verbe, ou si, au contraire, il éprouve à son contact une sorte de vertige. Ces réflexions ne veulent traduire qu’une disponibilité devant la rage : donc devant le besoin de fabuler.
Alain Bosquet.